Biennale de photographie en Condroz : les animations de cette dernière semaine !

Biennale de photographie en Condroz

Biennale de photographie en Condroz : les animations de cette dernière semaine !

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Les animations de cette dernière semaine de la Biennale...

Mercredi 21 et jeudi 22 août
Atelier d’écriture intuitive et poétique sur la thématique « Vibrer » par le CEC Plume & Pinceau.

Découvrir les différents lieux d’exposition et à laisser votre regard et votre cœur vous guider vers ce qui vous appelle, vous touche, ouvre en vous un espace d’accueil et de rencontre. Ecrire « comme on respire », sans en avoir l’air, peut-être pour renouveler son souffle et ses sources, au cœur de ces expositions porteuses de poésie et de promesses. ” Car vibrer, c’est toucher du regard. Frôler la corde sensible. Viser un monde sans cible. Ne pas perdre le fil : s’émouvoir ensemble.” (Emmanuel d’Autreppe).

Animatrices : Agnès Henrard et Florence Hellin
Les mercredi 21 et jeudi 22 août de 9h30 à 16h.
Lieu de rendez-vous : Centre culturel de Marchin, place Grand-Marchin, 4 à 4570 Marchin.
Visite des expos à Grand-Marchin et Ossogne.
Dès 16 ans.
1 journée :
20 € – Tarifs réduits : 12 € ou 2,5 €+ 2 articles 27
2 journées :
30 € – Tarifs réduits : 25 € ou 5 € + 4 articles 27

Inscription : 0499/23 90 77 ou

Samedi 24 août

Rencontre avec Raphaël Cadet

Chez Linda et Philippe Carton (lieu n° 7) à 15h.

Samedi 24 août

Merci la photographie !
Un parcours à travers un monde d’images
Conférence-projection par Georges Vercheval – à 18h à la Ferme de l’Aître

…Commentant la collection personnelle d’un galeriste états-unien (Howard Greenberg), Anne Morin avançait il y a peu que notre mémoire, notre imaginaire, était une sorte de cadavre exquis, une chose en amenant une autre, puis une autre, l’émotion en étant le moteur principal.

Je me retrouve bien dans ce cadavre ! Je partirai donc des premières images que j’ai rencontrées et de ce qu’elles m’ont apporté. Peut-on apprendre la photographie ? Peut-on – quand on est jeune et ce fut mon cas – la comprendre vraiment ? Imaginer ce qu’elle peut apporter ? Ce n’est que plus tard que tout cela remonte à la surface. Lentement. Avec bonheur. Parfois avec le pourquoi des choses…

On ne se fait pas tout seul. Je me remémore la voix critique, terrible même, de Gertrude Fehr, une de mes professeures (j’ai étudié avec elle, en Suisse), et FotoForm, revue confidentielle où il y a un peu de l’héritage du Bauhaus, et les brochures de la Guilde du Livre de Lausanne, et Camera, la grande revue ! Il y a les livres aussi mais dans les années 50 et 60, il y en a fort peu. Et moins encore d’expositions…

J’ai voulu être photographe. J’ai été portraitiste, paysagiste, technicien dans le cinéma et j’ai même frôlé le monde de la publicité. Les débuts d’un parcours peuvent être chaotiques ! J’ai été artiste, tantôt considéré comme « construit », tantôt comme documentaire, exposant seul ou avec d’autres. J’ai enseigné la photographie et son Histoire. Un formidable voyage dans le temps et dans l’imaginaire des photographes. J’ai rêvé, fondé et dirigé le Musée de la Photographie. Je vous parlerai donc des images que j’ai aimées. Les images des autres. J’en ai des milliers en mémoire. Elles se sont imposées. Elles sont là, bien vivantes. J’en propose un choix spontané, très subjectif…

Peut-être pour déclencher de nouveaux cadavres exquis…

Georges Vercheval

Légende : Izis, Paris, quai Montebello, extraite du Grand Bal du Printemps (La Guilde du Livre, Lausanne, 1951)

Dimanche 25 août
Vibrer sur le kiosque

20h : récital de vibraphone par Lucas Bovy.
21h : lâcher de lanternes en musique.

Place de Grand Marchin.

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